Compilation de poèmes - 008


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(3.5 stars; 12 reviews)

Cette compilation comprend une série de poèmes lus, en langue française, pour LibriVox. (1 hr 7 min)

Kapitel

L'Absence 0:51 Gelesen von Sonia
Allégorie 1:19 Gelesen von Sonia
À Ninon 4:01 Gelesen von Ezwa
Le Chat et le miroir 2:35 Gelesen von Linda Olsen Fitak
La Cigale et la fourmi 1:28 Gelesen von Linda Olsen Fitak
Le Corbeau 11:15 Gelesen von Linda Olsen Fitak
Le Corbeau et le renard 1:36 Gelesen von Linda Olsen Fitak
Dénonciation de l'esprit des bois 1:42 Gelesen von Sonia
Dernier adieu 2:32 Gelesen von Ezwa
L'Enfant et le papillon 1:57 Gelesen von Ezwa
Jalousie 3:28 Gelesen von Ezwa
Jeune fille, l’amour, c’est d’abord un miroir 1:17 Gelesen von Mongope
Ô laissez-vous aimer ! 1:29 Gelesen von Mongope
L'Orgue 1:18 Gelesen von Sonia
Le Perroquet 1:34 Gelesen von Sonia
Le Petit chat 2:49 Gelesen von Ezwa
Problèmes 1:43 Gelesen von Sonia
Puisque vous le voulez, demeurez inhumaine 1:34 Gelesen von Mayah
Un Retour au pays natal 3:53 Gelesen von Sonia
La Ronde de l'ouvrier 3:32 Gelesen von Ezwa
Sacra fames 2:54 Gelesen von Sonia
Le Serpent qui danse 2:09 Gelesen von Mayah
Treize ans 5:47 Gelesen von Ezwa
Le Violon brisé 1:27 Gelesen von Mayah
Voix dans la nuit 3:19 Gelesen von Ezwa

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(4 stars)

Des poèmes de Georges Rodenbach, Paul Verlaine, Alfred de Musset, Jean-Pierre Claris de Florian, Jean de La Fontaine, Edgar Allan Poe,Victor Hugo, Euvrard, V. Armand, Pierre Corneille, Charles Augustin Sainte-Beuve, William Chapman, Edmond Rostand, Emile Verhaeren, Philippe Desportes, Émile Reuter, Auguste Lacaussade, Charles Marie René Leconte de Lisle, Charles Baudelaire, Jules Barbey d'Aurevilly, Émile Nelligan, Franc-Nohain. Merci à Ezwa et les autres lecteurs! A titre de example, voici le texte de l'allégorie de Paul Verlaine: ALLÉGORIE À Jules Valadon Despotique, pesant, incolore, l’Été, Comme un roi fainéant présidant un supplice, S’étire par l’ardeur blanche du ciel complice Et baille. L’homme dort loin du travail quitté. L’alouette au matin, lasse, n’a pas chanté. Pas un nuage, pas un souffle, rien qui plisse Ou ride cet azur implacablement lisse Où le silence bout dans l’immobilité. L’âpre engourdissement a gagné les cigales Et sur leur lit étroit de pierres inégales Les ruisseaux à moitié taris ne sautent plus. Une rotation incessante de moires Lumineuses étend ses flux et ses reflux… Des guêpes, çà et là volent, jaunes et noires.